Quand le mieux est l’ennemi du bien, ou les relations inattendues entre la méthanisation et la biodiversité

 

Un bonjour gêné à mes chers lecteurs, l’annonce de la publication est prématurée. Le Post est en cours de rédaction et devrait être disponible vers le milieu de la semaine prochaine.

Rédigeant en écoutant un concert en duo de James Brown et Luciano Pavaroti (si,si…), l’enthousiasme a peut-être tourné la tête de ma souris, sinon je reste perplexe et sans autre explication à vous fournir.

La perte de bio-diversité des prairies de nos enfances (voir le post du …) puise principalement sa cause dans le sur-engraissement généré par la quantité disproportionnée de bétails dans nos exploitations agricoles. Le cycle et son déséquilibre peuvent se résumer en :
– nos terres ne sont pas suffisantes pour nourrir notre bétails,
– nous importons des fourrages et autres aliments (comme du soja du Brésil par ex.) pour réussir à alimenter en quantité suffisantes les animaux,
– en retour ceux-ci nous gratifient de plus de déjections que nos terres devraient normalement recevoir dans un cycle équilibré,
– et au final ne survivent plus que quelques espèces de plantes adaptées à de telles conditions.

…………………………….. suite prochainement, encore désolé

 

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